☞ TIK TOK ON THE CLOCK BUT THE PARTY DON'T STOP;

La fatigue, mais quel chose inonde que la terre me fais vivre. Bon en gros ce matin le chieur, ça n'a pas été ma meilleure amie Ariane mais bien se fichu rayon de soleil. D'accord, c'est bien bon de me dire que sans lui la terre ne serait qu'une cube de glace et que seule la nuit existerait mais là c'est pas n'importe qui que ce fichu soleil à réveillé, mais c'est bien moi. Enfin bref, ce que tout cela à engendrer, et non c'est pas un bébé dont je parle, c'est que je me suis réveiller après m'être littéralement fais taper dessus par une grosse boule jaune ou orange, dépendant de si votre enfant est original en dessin ou non, qui fais de la lumière, appeler rayon UV. Non je ne suis pas inculte, c'est surprenant je sais. Après ce si brutal réveil pour mes yeux, je me décida enfin à me bouger un peu. Je changea donc de côté. À ma grande surprise mon mari, ce blondinet toujours partis en ces matins, n'était pas là. Je soupira donc de désespoir pour sortir les pattes du lit, faisant gaffe à ce que si Ariane était sur le canapé du salon, elle ne m'entendent pas. Je fila donc dans le salon pour constater son absence avec un mot me remerciant de l'avoir raccompagnée la veille. Je fis un léger sourire avant de me rendre dans la salle de bain afin d'aller sous la douche chaude. Quoi de mieux le matin. Enfin, après m'être doucement laver je sortis de la salle de bain habillé d'une simple camisole à bretelle spaghetti avec un tee-shirt ample par dessus pour ensuite mettre un simple petit jeans très court. Je pris mon portable afin de voir mes messages et m'aperçus que j'en avais eu un de ce beau comédien, enfin je dis cela mais je suis mariée. Encore heureuse que Erwan ne puisse pas lire dans mes pensées car je sais très bien que ce pauvre Thomas ne serait que bouillis et servis au prochain repas en soupe. Quoi faire de ma misérable vie en ce moment. Je ne travaillais que le soir et aujourd'hui, c'était ma fin de semaine de congé. Bon, à regarder la maison un petit ménage serait pas mal nécessaire. Je ne rétorqua donc pas à passer un petit coup de ballet en mettant un peu de musique bougeant les hanches par ci et par là. Pampampapidou... Lachais-je attrapant ensuite la serpière. Je me sentais presque un peu comme Blanche-Neige, mais je savais très bien que j'étais loin de lui ressembler, côté cheveux les miens sont long et blonds, et les siens sont noire et court. Vous voyez ? Ensuite, moi je suis réelle, et pas cette princesse. Ah, et je suis loin d'être royale, vous le constateriez facilement en me voyant bouger le derrière comme en ce moment. Je fis le tour de la maison pendant tout la journée je crois à faire toute sorte de tâche pour ensuite m'effondre sur le canapé avec un sac de chips. Je n'attendais plus que l'arrivé de mon chéri pour enfin avoir un peu de repos. Ou bien tout simplement de la diversité dans les activités présentes pour moi en ce moment.

J’ouvris un œil, puis tranquillement j’ouvris l’autre pour contempler les chiffres rouges qu’affichait mon réveille-matin. 5h45, Birdie était couchée contre moi, je tentai donc de m’étirai sans la réveiller. Pour moi, la journée commençait, mais la sienne attendrait plus longtemps. Après m’être bien étiré, je baillai et sortie de sous les couvertures pour me rendre vers la salle de bain. Je regardai au passage vers le salon et vit la meilleure amie de Birdie couchée de travers sur le canapé. Ces derniers temps, il n’était pas rare qu’Ariane couche à la maison. Cela ne me dérangeait pas vraiment, mais je souhaitais seulement qu’elle ne se réveille pas puisque j’étais nu. J’accélérai donc le pas pour finalement entrer dans la salle de bain pour prendre une douche rapide. Une fois bien réveillé et propre, je sortis de la douche et enroulai une serviette autour de ma taille. Je retournai finalement dans ma chambre pour me saisir de mes vêtements que j’enfilai. J’allai vers mon lit et observai quelques instants Birdie qui dormait à poings fermés. Depuis qu’elle travaillait au bar, elle revenait très tard dans la nuit, ou plutôt très tôt le matin. Alors nécessairement, aujourd’hui elle ne se réveillerait que vers 10h30. Je contournai le lit pour aller déposer un baisé sur le front de ma femme. Je t’aime. Je me relevai et pris mes clés de voiture avant de partir pour le travail. Je trouvais cela injuste de devoir partir travailler alors que Birdie bénéficiait d’un congé. J’aurais préféré resté avec elle toute la journée, à se collé et à s’embrasser au lieu d’aller assoir mes fesses sur un siège et regarder les autres répéter. Eh oui, j’étais obligé d’aller à la répétition alors qu’ils n’avaient pas besoin de moi. J’avais le rôle de doublure, alors je n’avais pas d’affaire là, mais j’allai tout de même travailler car après tout, j’étais payé pour ça.

Lorsque j’arrivé au studio, l’air semblait chargé d’énervement et de détresse. Je fronçai les sourcils. Erwan !! Enfin, tu es arrivé ! On a besoin de toi, tout de suite, Sawyer a eu un malaise et c’est toi qui prends sa place pour le moment ! Mon visage s’éclaircit, laissant paraitre la joie qui m’envahissais à ce moment là. J’attendais depuis si longtemps, enfin aujourd’hui je pourrais montrer mon talent à tout le monde, et pas seulement resté assis toute la journée à simplement regarder la répétition. Lorsque je me retrouvai sur la scène, je me senti immédiatement dans mon élément. C’était la confirmation que c’était vraiment ça que je voulais faire de ma vie. Les heures passèrent sans que je m’en rende compte. Vers 4h45, le producteur vint nous féliciter. Bravo tout le monde ! Vous avez très bien travaillé aujourd’hui. Erwan, c’était très bien ! Vous pouvez tous rentrer chez vous, c’est assez pour aujourd’hui. J’esquissai un sourire, heureux de voir que mon travail avait plut au producteur. J’enfilai ma veste et partie le sourire aux lèvres.

C’est en sifflant que j’entrai chez moi. Ma joie n’avait pas diminué et j’avais très hâte d’en parler à Birdie car je savais qu’elle serait très fière de moi. Refermant la porte derrière moi, j’entendis un craquement. Tournant les yeux vers le salon, j’aperçu une petite tête blonde sur le canapé. Birdie était en train de se bourrer la face dans le sac de chip. Lorsqu’elle me vit, elle se redressa légèrement et j’allai à sa rencontre. Je l’embrassai amoureusement, souriant encore. Salut ma chérie. Ça va ? Mon sourire s’élargit de plus belle, trahissant la joie que je ressentais.

Tout à l'heure en regardant par la fenêtre j'eus pu voir la température plutôt mauvaise, et maintenant, en voyant mon mari entrer je vu le soleil. Dans ma tête ce fut confus. Comment pouvais-je passer d'une température à une autre en l'espace d'une journée ? Voire même quelques minutes, parce que la seconde avant qu'il entre en dehors c'était encore gris avec des gouttes qui coulaient beaucoup plus vite que ce matin sur les fenêtres de la maison. N'était-ce pas ma vie qui était refléter là à travers cette subliminale météo ? Je crois bien que si. Ce qui est plutôt inhumain est ce pouvoir que cet homme à sur moi, un peu comme un sortilège. C'est à penser que les films de fiction où le coup de foudre et la magie existe est réel. Ce que je vis avec Erwan est tout ce qu'il y a de plus réel, de plus magique. Il m'ensorcèle et moi comme une pauvre victime naïve je ne peux résisté à son charme. Un soleil vivant, voilà de quoi il avait l'air. Dans un sens je me sentis honteuse de manger comme ça devant lui alors qu'il devait être affamé après cette journée, bon même si il restait assis à ne rien faire sauf regarder et à hocher la tête. Quand je le vis me regarder je me redressa un peu afin de ne pas avoir l'air idiot non plus. Je souria un peu pour ensuite me faire embrasser par ces si belles lèvres pulpeuses. Je prolongea un moment pour voir ce sourire sur le visage de mon mari. Il me rappelait de très beau souvenir comme notre rencontre par exemple. Mais encore mieux celui de notre mariage. Je me souviens du stresse que je ressentais, c'était affreux. Mais le plus beau moment restera à jamais graver dans ma tête.. Mon mari avait vu cette affiche avec les futurs auditions pour une nouvelle comédie musicale, comme c'était sa passion réel, il ne put s'empêche de se réjouir et avec mon accord il alla passer les auditions. Même si la salle de répétition était un peu loin de notre maison, on trouva une solution pour qu'Erwan puisse quand même faire la comédie. La journée où il eu cette doublure, ce sourire magnifique qu'il me fit en me prenant, me resteras toujours en tête. En ce moment il ce trouvais devant moi, quel bonheur après cette journée d'enfer de le voir apparaître là. Je lui sourie doucement pour ensuite le ré embrasser lui faisant une place sur le sofa répondant à ca question. Oui, je vais très bien.. Je m'arrêta le regardant le sourire en coin sachant très bien que cette joie était du à quelque chose. Pourquoi ce sourire en cette.. température ? Je regarda le dehors dégoutée comme tout pour revenir sur le visage de mon chéri. Je flatta sa cuisse un moment avant de me coller contre lui, remettant ma main sur sa cuisse par la suite. J'adorais me coller comme ça contre, je me sentais en sécurité. Je repensa pendant un léger moment à Ariane, cette petite peste qui était à deux poils de gâcher mon couple. Elle venait tout le temps le soir, quand moi et Erwan sommes à deux doigts de passer à l'acte. Ou bien je devais la ramener chez elle et finalement elle s'endormait dans la voiture. Même si c'est ma meilleure amie il y a des limites. En ce moment, pour ne pas faire gonfler mon chéri, je ne disa rien. Après tout il voudrait qu'on en parle tous les deux. J'avais que vingt ans mais savait que dans sa tête, il y avait plus d'une idée. Je voulais savoir.. tu as des projets en tête pour nous ? Comme un bébé.. Je savais que notre mariage tenait à quelques mois seulement, mais ce sujet était très important. Je n'avais jamais passé de test de fertilité et me savoir stérile me rendrait tout simplement fébrile pendant quelques mois voire une année. Bien sûr pleins d'autre moyen ce présentait à nous, déjà si c'était Erwan, on pourrait demander à un autre garçon de le faire, un peu comme Thomas. Je le trouve très gentil et chaque fois qu'il me voit j'ai le droit au clin d'oeil de sa part. En pensant à lui je souria vivement en rougissant un peu. C'est ce qu'il me faisait comme effet quand je le voyais enfin, je préférais ne pas parler de lui avec Erwan sachant la réaction qu'il aurait. Mais j'avais tout de même ce garçon dans la pensée.

Je me souviens la première fois que je l’ai vu, dès le premier regard j’avais su qu’elle était la femme de ma vie. Elle m’avait d’abord sourit et j’avais complètement fondu devant le charme que projetait son sourire. Tout d’elle m’enivrait, le mouvement de ses longs cheveux couleur de blé, le déhanchement de son corps, le battement de ses cils, son rire, sa voix, et encore aujourd’hui, je ressens la même chose à son égard. Je savais, d’après les papillons qui virevoltaient dans mon ventre lorsque je la voyais, qu’elle était la femme de ma vie, que j’étais irrévocablement amoureux d’elle. Même après trois ans d’amour, le petit « couic » au cœur était toujours présent lorsqu’elle m’adressait son plus beau sourire ou lorsque nos lèvres se touchaient. Aujourd’hui, la journée avait été très longue. Contrairement aux autres jours, j’avais pris part à l’action au lieu de rester assis dans les gradins. Mais même malgré ça, je n’avais pu m’empêcher de penser à Birdie que j’avais laissé seule à la maison. Je me sentais mal parce qu’elle était en congé, c’était bien rare que je pouvais être présente pour elle lorsqu’elle était à la maison car mon travail prenait la majeur partie de mon temps. Au moins, j’essayais de rattraper le plus de temps perdu lorsque je revenais le soir. Comme on dit « Partir pour mieux se retrouver. » Ce soir en rentrant à la maison, j’avais l’intention de me faire pardonner mon absence.

Elle était dans le salon, couchée sur le canapé à manger des chips. Malgré ça, je trouvai Birdie très belle. Même si elle ne s’était pas arrangée comme si elle sortait, elle restait magnifique. J’enlevai mes chaussures et mon manteau puis me dirigeai vers elle pour l’embrasser. Ses lèvres étaient exquises. Je lui demandai comment elle allait. Après m’avoir ré embrassée pour mon plus grand bonheur, elle me répondit qu’elle allait. Je m’installai sur le divan à ses côtés et l’observai, mon sourire devenu insistant. Elle m’observa puis me questionna sur l’origine de mon sourire en des temps pareils. Je ne pus m’empêcher de réprimer un petit rire. J’étais avec la femme de ma vie, et en plus, j’avais pu prendre part à la pièce. « Thomas a eu un malaise… » Je laissai ma phrase en suspend. En y repensant, ça faisais comme si je me réjouissais qu’il est eu un malaise… c’était un peu ça, après tout ce qu’il me faisait subir, il pourrait bien mourir que ça ne me ferais rien… Mais tout de même, pour ne pas avoir l’air trop égoïste, je continuai ma phrase. « Alors j’ai jouer ! » Mon sourire était énorme. Birdie me sauta dans les bras, exprimant qu’elle était très fière de moi, et qu’elle était certaine que j’avais cartonné. Je l’embrassai à nouveau. Puis, elle amena un autre sujet à la conversation. Elle voulait savoir si j’avais des projets en tête pour notre couple, comme la confection d’un bébé. J’esquissai un sourire en coin en lui donnant ma réponse. « Tu aimerais avoir un bébé ? » L’idée me plaisait. Après tout, un bébé ne ferait que rajouter de la joie dans notre couple. Je ne m’étais jamais arrêté à penser à fonder une famille. Je m’étais toujours dis que j’avais encore toute ma vie pour en avoir une, mais maintenant qu’elle mettait l’idée sur le tapis, l’idée ne m’était pas indifférente. Nous étions ensemble depuis trois mois, et nous n’avions eu à peu près pas de dispute, nous étions complètement amoureux l’un de l’autre, alors faire un bébé était tout simplement une excellente idée. « Mais… Ça serait beaucoup plus facile si Ariane ne débarquait pas toujours ici » dis-je tout en esquissant un sourire.