☞ PAPA DON'T PREACH, I'VE BEEN LOOSING SLEEP;

Un soupir. Je regardais doucement la fenêtre de ma chambre pensant à toute futur éventualité. En fait, ces petites gouttes de pluies qui tombe et s'accroche à la vitre quelque fois me rend assez fébrile, comme ces derniers jours. Seulement je me souviens très bien que la veille en gros, c'était moi qui laissait couler de l'eau et non pas ces nuages, normalement composé par la condensation de l'eau des rivières. Moi c'est seulement enclenché par se sentiment qu'on nomme plus fréquemment la tristesse. Comment, moi si bonne fille ai-je pus tomber dans le piège de se garçon ? Je me demandais depuis déjà une bonne heure ce que je fichais là. Foutre le camp de ce pays, de cet univers qui n'est pas le miens serait une solution. Mais pour aller où ? Dans cet autre enfer que j'avais connu jadis, non. Ce n'est pas ce que ma destinée me réservait. Mais bordel, ce que je suis devenu c'est pas assez pour se stupide dieu ? Mais il me veut quoi à la fin, lui ! Dans toute ma vie j'ai traversée assez d'épreuves comme cela qu'en plus il doit m'enlever ma nouvelle raison de vivre depuis trois ans maintenant, donc en gros je gâcherais trois fichu année de ma vie pour quoi, un rien. Mais ce que ce bon dieu est con de penser que je suis cette imbécile fille qui va jouer à ce jeu. Erwan à beau être toujours parti, je vais me trouver un passe temps. Il m'a promit qu'il reviendrait, pourquoi ne pas le croire, après tout c'est mon mari non ? Je décida enfin à l'aide de mon cerveau d'ordonner à mes jambes de ce bouger de là afin d'aller faire autre chose chose que de s'étendre. Je me dirige donc je ne sais trop où, mais rencontre ce petit objet gris. J'eus un léger sourire un peu maniaque sur les bords et me décida enfin à appeler quelqu'un lorsqu'enfin j'entendis la porte de la maison s'ouvrir. Au début je sursauta et par après de compris que ce n'était que Ariane. Je soupira à nouveau la regardant assez méchamment. Mais merde Desbois, tu me fais chier. Elle me regarda d'une façon assez étonné, et partit à nouveau à rire les clés en main. Putain, je lui avais donné les foutus clés de la maison ce que je suis conne parfois, au moins je le suis à temps partiel et pas à temps pleins. Alors, Roméo est partit ? Je la regarda, mais quel enfoirée celle-là bordel. Elle ce croit tout permit alors qu'au fond c'est qu'une sale garce qui s'amuse en secret avec mon copain. Va te faire foutre Ariane. Je partis chercher quelques affaires à moi et la regarda de ce regard qui tue et persécute. Si je serais capable, je la tuerais de mes deux mains. Mais comme c'est ma meilleure amie, celle qui me connait par cœur, bah je le fais pas. Bref je pris mes clés de voiture et partis le plus loin de cette p'tite drama queen afin de pouvoir mieux respirer l'air frais de la vie mais aussi oublier un peu ces derniers jours. Si j'suis en dispute avec ma meilleure amie, c'est à cause de mon mari. Elle le digère pas et je me demande pourquoi, mais chaque fois qu'on vient au sujet elle commence à dérailler. C'est pourquoi en ce moment je me dirige vers les coulisses du spectacle que mon mari fait en ce moment, enfin la doublure d'un rôle devrais-je plutôt dire. Mais comme je sais qu'il n'est pas là je vais voir les autres personnes que je connais. J'ai toujours rêvé de faire partie de ce monde mais j'ai jamais vraiment eu la chance. Je démarra la voiture et partie direction les coulisses. Arrivé là-bas j'arrêta la voiture, barra les portières, et me dirigea vers la bâtisse des répétitions, enfin c'était dans ce gros centre qui accueillait toute sorte de spectacle, normalement réputé pour les sports. Enfin bref j'arriva en coulisse et salua quelque personne que je ne connaissais pour ensuite aller m'assoir sur un sofa dans la salle de repos principal qui normalement mène à toute les loges. Je resta là regardant les autres parlant avec certains. Je voulais me divertir, pour le moment ça ne donnait. Je vis mon copain et lui fis un grand signe de la main. Hey bébé.. Tu fais quoi ici dis-donc ! Je souria un moment avant de m'emparer de ces lèvres si douces pour ensuite le lâcher et répondre à sa question. Je me dégourdis un peu les pattes, tu vois. Je pensais pas que tu serais là. Je lâcha un sourire à mon mari avant de ne regarder autour de nous. Peut être aurais-je l'occasion de revoir ce si charmant Thomas, je dois avouer que ce petit plan je le garda pour moi. Ah d'accord.. Je dois filer, mon agent m'attend. À bientôt ma belle. Il m'embrassa de nouveau avant de me laisser seule sur le canapé avec mes pensés comme seule compagnie. Ce que j'adore cette vie de merde ! Bref je ne fis rien attendant que quelqu'un vienne réellement me parler. Je sortis mon portable et me mis à envoyé quelques textos par si et par là sans vrai but réel.