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BIRDIE-SARA ANGÉLIQUE MASCALLIANO

GIMME A MAN AFTER MIDNIGHT!

Une histoire banale vous me direz, pourtant c'est l'histoire d'une vie, que jamais personne n'a connu, cette même histoire qui a fait mon caractère qui a fait de moi ce que je suis aujourd'hui. Ce que j'écris; c'est ma vie. Ce que je suis et ce qu'au fil du temps je suis devenu, de ma tendre enfance à tout simplement ce moment de ma vie qui signifie le passage à l'âge adulte. Pour certain mon histoire ne représente rien; tout ce que j'ai vécu ne les affectes pas, et cela est du moins un peu égoïste de leur part. Mais on a tous eux à subir des épreuves dans la vie, même si elles nous paraissent difficile on réussi à passé au travers et à en tirer une certaine leçon. Mon histoire est loin d'être celle d'une grande célébrité et d'être la plus rose, mais pourtant pour moi elle a un sens énorme. Pour tout commencer, je dois parler de ma conception donc de mes parents, ceux qui ont fait en sorte que je suis sur terre, et a qui je dois tout. Débutons avec ma mère, jeune femme plutôt libertine qui avait perdu ces parents très tôt et qui trainait d'une famille à une autre, pour son plus grand malheur. Son arrivé au lycée fut remarquer et une étape importante dans notre vie à elle et moi. Ma mère avait commencer très tôt à consommer de la drogue, et elle en était même rendu au seringues quand mon père l'a rencontré. Ma mère voulait oublier sa vie et se sentait bien avec cet effet en permanence, qui pour certain leur devient insupporte; pourtant celle que j'appelle maman en était accro, dépendante. Elle avait des copains et copines qui pensait la même chose de ces choses. Seulement ma mère avait toujours eu cette règle de ne jamais fumer; elle avalait, se piquait et inhalait, mais jamais elle ne fumait, trouvant cela dégoutant. Son grand-père était mort de la fumée et sa grand-mère de la fumée secondaire. Elle en avait prit une certaine leçon, cependant l'arrivé d'un homme bouscula sa vie. Il ne la voulait que pour jouer; il la faisait souvent faire des choses inondes comme voler dans des boutiques, ou bien augmenter ces doses de drogues. Mon père était un intello de l'école; et jamais personne ne l'avait respecter . Il conseillait cette jolie blonde d'arrêter ces conneries, et il avait été un ange gardien pour elle. Seulement, cette Sheila ne l'écoutait pas et n'en faisait qu'a sa tête, tellement qu'un jour l'overdose l'envahit et ce fut lui qui la sauva de la mort. Elle lui en fut reconnaissante; tellement qu'elle lui promit d'arrêter ces conneries; promesse qu'elle n'a pas tenu. Ils devinrent très amis, assez pour que mon père sache ou était les réserves de ma mère. Seulement un bon jour ils décidèrent d'aller plus loin qu'un simple baiser; vous aurez compris qu'ils ont couchés ensemble. Ma mère bourrez d'extasy et mon père en avait prit quelque comprimé sans vraiment le savoir, dissimuler dans un simple verre. C'est cette même journée que ma conception démarra. Quelques semaines plus tard, pour être exacte je crois que c'est cinq ou six, Sheila, ma mère, n'eu pas ces règles et avait légèrement la nausé, non pas légèrement, elle vomissait assez souvent. Mon père s'inquiétait pour elle, ils allèrent à l'hôpital.. C'est alors que Sheila Barney, dix-sept ans à peine et Marius Mascalliano, dix-huit depuis un certain se firent dire que la jeune blonde était enceinte. La surprise de leur vie se montrait le nez, un être vivant se créait dans le ventre de ma mère. Tous deux ne savaient pas comment réagir fasse à cela, tout leur semblait étrange et des questions les envahissaient soudainement. Déjà en premier lieu ma mère disait son opinion clairement; elle ne voulait pas d'un enfant créer par erreur, et surtout elle était trop jeune et voulait avoir amplement le temps de s'amuser, comme elle le faisait chaque soir depuis quelques années déjà. Ma mère parlait sans cesse pendant le trajet pour retourner chez elle, un petit appartement qu'elle avait de la difficulté à payer, seulement elle eu une surprise quand mon père, Marius, s'arrête et regarda ma mère dans les yeux en lui disant clairement qu'il voulait garder ce bébé que tout deux avaient construit. Mon père avait toujours été très diplomate et il pensait pouvoir avoir cette force pour élevé un enfant avec une femme drogué, ou plutôt une gamine. Bien sûr ma mère refusa catégoriquement, et c'est seulement que quelques semaines plus tard qu'elle lui donna son accord. C'est donc comme cela que mes parents décidèrent de me garder. Ils prenaient beaucoup de précaution et avaient même emménager ensemble, ma mère avait le ventre qui grossissait sans cesse au plaisir de mon père qui avait toujours une main sur celui-ci prêt à sentir le moindre mouvement de ma part. Seulement je n'était pas vraiment prête a faire le moindre geste. Mes parents étaient fiers de moi et déjà ma chambre était prête, ils étaient fin prêt à me recevoir. Un bon jour pendant que ma mère regardait le plafond se demandant ce qui allait lui arrivé, mon père qui dormait à côté d'elle fut réveillé en un sursaut et un bruit strident de la part de sa bien-aimé. Ma mère avait lâché un cri de joie en me sentant bougé dans son ventre; et en se même moment de sa vie; ma mère avait enfin vu à quel point elle était heureuse de ma venu. Bien sûr mon père avait prit par à la joie de ma mère et tout souriait. Ils étaient heureux quoi demander de plus ! Le printemps venait de laisser mes parents en suspens, qui avaient plutôt hâte à l'été, saison ou j'allais enfin voir le jour. Il m'attendait pour Juillet, et ils trouvaient le temps long. Mon père avait fait connaître sa petite amie à ces parents qui lui avait apporter confort et appuie. Pour ma mère, comme ces parents étaient mort il ne lui restait plus que son grand frère Noah, celui-ci avait vingt-et-un ans alors que ma mère en avait dix-huit depuis cet hiver. Celui-ci lui avait promit de la soutenir dans toutes ces épreuves difficiles. Et ma mère savait très bien qu'il serait là pour elle. L'été était en train de passer tranquillement pour le malheur de ma mère et mon père. Ils étaient impatients mais toujours autant amoureux, ma mère avait été obligé d'arrêter ces conneries et était maintenant en repos forçé. Elle passait ces journées à ce ménager et l'envie de bouger lui manquait énormément. Si elle aurait put, je crois qu'elle se serait mise à danser, seulement c'était risquer pour moi et elle ne voulait pas prendre la chance de me perdre. Les grandes chaleur arrivait et il faisait très chaud, cela ne semblait pas me déranger mais mes parents avaient quand même très peur pour moi. Je suis finalement née à leur plus grand bonheur en Juillet comme prévut. Le dix-huit pour être plus précise. Ma mère avait énormément souffert sur la table d'opération, et je dois avouer que jamais elle n'a autant souffert. Mon père était avec elle et la supportait dans cette rude épreuve. Tous deux furent si heureux quand il me virent dans leurs bras. Ce petit être vivant que j'était faisait leur entier bonheur au deux. Je dus rester à l'hôpital un certain nombre de temps mais je sortie avant ma mère, au plus grand plaisir de mon père qui souriait à la vu de sa petite fille. Ma mère sortie après deux semaines complète à avoir passé là-bas et à son plus grand bonheur put enfin me prendre dans ces bras. Bien sûr pour eux j'étais une sorte de cliché qu'ils aimaient bien montré au gens, allant faire des promenades en poussette avec moi à l'intérieur. Ils étaient heureux et je crois que rien n'aurait put gâcher notre bonheur, au trois personnes. Bref je grandit dans la joie et le bonheur de mes parents, chaque année ils tenaient à célébré mon anniversaire en grand à chaque fois; et même ils me trouvaient des amis, ils étaient de vrais parents et étaient heureux ensemble, et surtout heureux de m'avoir. J'ai grandi dans la joie et du plus loin que je me rappelle, c'est à dire mes cinq ans, ils ont toujours été là pour moi. Pourtant il y a eu mes premiers mots, qui fut "maman" et ensuite ce dut "papa" comme tout enfant aimant ces parents. J'étais un bébé très souriant, d'après eux. J'appris très vite à marcher et on m'a dit que déjà j'aimais danser et chanter avec ma brosse à cheveux, enfin oui. Mes cinq ans, année ou je commença l'école, et où mes parents étaient de plus en plus fiers de moi. Je voulais m'impliquer à l'école mais surtout je voulais qu'on me respecte et que mes parents soient heureux que je sois leur filles. Mes efforts ne fit que les remplir encore plus de bonheur, nous étions une famille heureuse..Je fis des concerts et beaucoup d'activité, mes parents toujours là. Bientôt se fut la fin de mon primaire, et mes parents étaient encore là pour le souligné. J'étais une enfant très gâtée et rien n'aurait put me le faire nier, encore aujourd'hui. Seulement; c'est après que tout prit différente ampleurs pour notre famille. Je commençais le lycée à ce moment et me rendait compte de ce qui se passait, mes parents n'étaient plus heureux ensemble et les disputes s'empilaient, mais ils restaient toujours ensemble et je me devais de les entendre. Souvent j'allais me cacher dans ma garde-robe et me bouchait les oreilles en me fermant les yeux. Je ne pensais pas qu'ils allaient avoir des disputes un jours, eux qui semblait si heureux ! Je me souviens qu'ils se criaient dessus sans cesse et que mon père semblait si .. malheureux. Ma mère semblait pleurer et le supplier. Tu te rends compte de ce que tu fais ? il avait dit ça presque dégouté. Je t'en pris.. arrête. Il avait sembler être censé, seulement tout cela commençait tout juste. Ta fille dans tout ça, Sheila t'en fait quoi ? Il avait parler de moi et j'étais intriguée alors soudainement. Laisse Extasie en dehors de tout cela. Elle avait prit se ton si.. si neutral et protecteur que j'en fus presque rassuré. T'as pas honte que ta fille est le nom d'une drogue ? Je fus sur le choc en apprenant que effectivement j'avais le nom d'une drogue, une substance illégale et illicite. Je trouvais cela répugnant qu'on est put me donner se prénom. L'explication; c'était tout simplement parce que c'était la drogue que ma mère avait prit lors de ma conception; aussi banal que cela. Mais aussi parce que l'extasy est une drogue pour le plaisir charnel. J'avais été créer dans cet univers et j'en avais honte. Je ne m'étais jamais posé de question sur le si jeune âge de mes parents, mais en cet instant dans ma penderie, toutes ces questions me trottaient et me démangeaient l'esprit. Ça changera quoi ? C'est un prénom comme les autres. Ils avaient reprit leur discussion et je n'étais pas d'accord le moindrement avec eux. Elle ne serait pas fière de savoir que tu consommes encore ces drogues. Tu m'avais promis d'arrêter ! Mon père semblait démuni et j'en était moi-même aussi démuni que lui. Si au départ je prenais pour ma mère, maintenant seul mon père comptait. Mais on s'en fiche complètement ! C'est ma vie pas la tienne. Je n'arrivais pas à croire qu'elle se fiche carréement de sa vie de façon à la détruire, elle qui m'avait toujours dit que ma naissance avait été un pure bonheur. Si c'est ta vie alors je vais te laisser. C'est fini. Je me disais que tout allait se régler, mon père me prendrait avec lui et on vivrait heureux ! Je.. S'il te plait Marius laisse moi une chance ! Je te promet d'arrêter.. Elle le suppliait; et j'en étais presque triste pour elle. Mais moi je voulais plus de ma mère, elle était une droguée, et ne se souciait même pas de moi. Non ! Tu m'as déjà fais cette promesse, c'est fini. Je pars, et tu restes avec ta fille. Je ne veux pas avoir un seul souvenir de toi. Je ne savais pas quoi dire j'étais détruite, mon père ne voulait pas de moi, ou plus. J'allais donc vivre avec ma mère, même si je le voulais pas. C'est donc ainsi que vécu avec ma mère. Elle était toujours un peu droguée et je n'aimais vraiment pas ça. Je n'emmenais pas d'amis chez moi de peur qu'ils voient ma mère, j'avais des amis pourtant mais sortait le plus souvent possible; n'aimais pas rester à l'intérieur avec ma mère. Les année se ressemblaient souvent; et je trouvais tout cela vraiment banal. Pourtant j'allais devoir apprendre a vive comme cela maintenant.

LET THE BUTTERFLY FLY AWAY!

Si je croyais que ma vie devenait banale et monotone je n'étais pas au bout de mes surprises. J'étais toujours au lycée et je grimpais de niveau à chaque année. Ce que je ressentais comme colère et haine contre ma mère ne s'apaisa pas, et elle ne se posait aucune questions, étant sûrement trop préoccupé par elle-même. Parfois je me demandais si j'existais dans ce monde de dingues ! Ma mère était toujours droguée et rien n'allait plus; elle ramenait de ces garçons bizarres à la maison pour une nuit sûrement, et tout ce que je savais c'était que ça me répugnais. J'espérais presque qu'elle trouve l'amour et me confie à mon père, qui même si il m'avait renier me semblait meilleur que ma mère, et qu'elle vive sa vie de droguée sans moi. Je détestais ces conditions de vie et j'avais très envie d'être majeur pour me barrer de la maison, et ça ma mère le savait. On ne se parlait pas; ou seulement un petit bonjour par si et par là. Elle me demandait comment ça allait à l'école et je répondais toujours la même chose, elle ne se laissait donc pas de m'entendre dire que tout allait bien ? Je me demandais dans ma tête ou était passé ce couple si amoureux qui j'avais connu enfant. J'étais maintenant une adolescente, même si ma mère me prenait pour une gamine, et je savais à quoi m'en tenir pour le futur. Je savais que je ne voulais pas supporter davantage ma mère, je voulais partir; j'étais tanné tout simplement. C'est au moment où ma mère commençait à mieux communiquer avec moi que se soir arriva. Dire qu'il ne m'a pas marquer serait mentir. Ce soir là, je fus marquer pour toujours et ignorait qu'il allait marquer le reste de ma vie; que tout changerait après cela. Je n'avais pas espéré cela, loin de là. Mais pourtant cela arriva. Je rentrais chez moi avec une de mes amies habituelle. On était maintenant rendu inséparable. Une voiture s'arrêta prêt de nous; vous savez, une grosse voiture avec deux seule vitres pour les passagers et le derrière, grand et sans vitres ? Et bien c'est ce genre de voiture qui était prêt de nous. Le chauffeur avançait en suivant nos pas et mon amie et moi on commençait sérieusement à s'inquiéter. Je fixa alors cette vitre, essayant de regarder le chauffeur, mon amie elle courrait un peu et m'appelait quelques fois pour que j'avance un peu plus rapidement. Mais j'étais fixé sur la vitre; erreur de ma part. J'entendis alors une porte et tout doucement une personne me mit la main sur la bouche. Mon amie se retournait à peine lorsque cette même personne qui me tenait, m'embarqua dans cette voiture en me faisant sentir un tissu pour que je sombre dans un sommeil. Je ne me souviens pas de ce qui c'est passé ensuite, dormant sûrement, mais à mon réveil j'étais dans un endroit inconnu et me posait toute sorte de question. J'espérais que c'était mon père, mais malheureusement, c'était des gens pas très net qui avait des idées pas très catholique avec moi, et aussi très méchante. Je n'avais jamais connu l'amour; jamais embrassé un garçon ou ni même couché avec un garçon. J'étais une pauvre fille qui voulait une bonne vie; une fille qui aurait aimé connaître l'amour, mais ces voleurs de vies, ne m'en ont pas laissé la chance. Ils ont commencé par jouer avec moi, me retirant mes vêtements, ensuite se fut le tour de jeux dangereux avec un couteau, évidement je n'avais pas d'arme et je me faisait souvent coupé. Ils me battaient régulièrement comme pour m'achever; je ne mangeais presque pas et ne buvais rarement. Je vivais dans une salle avec une faible lumière et j'étais dans un état pitoyable. Alors que je pensais que j'étais au bout de mes surprises, l'un deux décida d'aller un peu plus loin avec moi. Je me rappelle se moment comme si c'était hier. Il c'était approché de moi avec un sourire des plus maléfique et sadique. Il tournait autour de moi me touchant parfois avec une main. Finalement il c'était approché et essayer de m'embrasser, en vain je résistais et ne voulais pas obéir. Il ne retissa pas pour autant malgré moi. Ces mains se baladaient sur mon corps, et il commençait tranquillement à me retirer mes vêtements, rendu sale avec le temps. Il touchait chaque partielle de peau qu'il pouvait; comme un gamin qui découvre un jouet. Finalement il me coucha au sol avec force et s'introduisa en moi tel.. tel un monstre. J'avais mal, très mal même, je suffoquais énormément et essayait de crier ou de me débattre mais il était beaucoup plus fort que moi et mes effort ne faisait que me faiblir et lui rendre la tâche encore plus facile. Je ne voulais pas de tout ça. Et si en ce moment j'aurais eu à choisir entre cet vie et celle que j'avais avant avec ma mère, je préférais encore vivre avec une droguée que de vivre ce châtiment atroce. Rien au monde n'aurait été plus apprécié que d'avoir seulement put vivre avec ma mère en ces moments. Parlant d'elle, je me demandais ce qu'elle faisait. J'imaginais qu'elle c'était dit " bon débarras" et qu'elle avait été heureuse voire soulagée de mon départ si soudain et inattendu. Je voulais sortir de là, et comme si dieu m'avait entendu; quelques jours plus tard je crois, on est venu me chercher. Des policiers c'était occupé de moi, et c'est à ce moment que j'avais vu ma mère qui était là en demandant sa fille. J'étais très laide, pleines de bleues et de sang surtout. Des larmes encore visible sur mes joues, les yeux rouges, la lèvres en sang et un oeil avec lequel j'arrivais peine à voir. Je n'étais pas saine et sauve; j'étais blessé et traumatisée surtout. Je me souviens m'être endormie dans une ambulance, avec toute la facilité du monde, mais qui me rappelait le jour de mon enlèvement. Oui j'avais été enlevé par des gens qui ne voulaient que jouer avec moi. Vous savez une jeune blonde assez jolie.. et bien c'est ce qu'il avait prit. Mais en m'ôtant de mon monde, ils ont aussi enlever ma confiance en moi et apporter avec eux ma virginité par la même occasion. Je me souviens de ma mère qui venait me visiter à l'hôpital régulièrement, je me demande même si elle ne pensait pas qu'elle aurait préféré me retrouver morte. Sûrement un bien sur sa conscience. Moi, je me demandais ce que je faisais encore vivante, en réalité je n'avais pas vécu tout ces événement, j'y avais survécu et essayait se survivre encore. Me battant avec moi-même. Je revenu de l'hôpital après quelques semaines, presque guérite, il restait quelques bleues et ce sang sécher sur ma lèvre inférieure. Je me souviens de cette conversation avec ma mère. Je suis désolé pour ce qui t'es arrivé ma belle. Je la regardais avec des yeux dégoutée. Comment pouvait-elle dire cela ? Pardon ? Si tu n'avais pas jouer les drogués, maman, peut être que rien de tout cela serait arrivé. Je la vis soudainement à ce même moment pleurer devant moi. Je ne fis rien, je décida même d'aller dans ma chambre pour ne pas avoir à supporter ces pleures. Je me sentais idiote d'être encore vivante et je savais que ma vie allait reprendre son cours normal ces choses, ce qui me rendait presque triste. Je guérissais assez vite de mes propres blessures sans pour autant prendre gout à la vie. D'accord j'aime bien ma vie.. mais..bon enfin. Ce qui arriva ensuite fut une des choses les plus merveilleuses. Je me souviens que je dormais cette journée là et j'entendis alors ma mère dire un nom un peu bizarre. Je me suis réveillé en reconnaissant cette voix masculine, et quand je les entendis parler.. je fus trop heureuse. Tu peux pas venir chercher ta fille comme ça après tant d'année ! Mon père voulait venir me chercher. Je resta dans ma chambre écoutant leur discussions. Ah non ? Devine ce que je fais ici. J'étais d'accord pour partir avec lui tout de suite si il le voulait. Mes rêves prenaient réalité. Non ! Pas question, elle ne voudra pas de toi. Ma mère avait tord.. Après ce que j'ai vu à la télévision; je crois bien que je sais ce que je fais. Il le savait donc pour mon kidnapping, j'espérais cependant qu'il ne me demande pas de détais, je ne serais en aucun cas capable de lui dire quoi que se soit. Vas-t'en Marius.. Laisse nous ! Mon père la regarda un moment et me vut les regarder, j'alla donc me cacher dans ma chambre. Non. C'est trop.. Il se dirigea vers ma chambre et me regarda. Je ne savais pas quoi faire et le regarda comme je regardais tout être vivant. Tu es magnifique.. Je suis désolé de ne pas avoir été présent, cela changera. Fais tes valises. Je fis un léger sourire et obéis donc à mon père. J'allais habiter avec lui, quoi demander de mieux ! Nous allions habiter à Washington, et j'étais très contente d'y aller. C'était là que j'étais née apparemment, et quand mes parents se sont séparé ma mère est venue habiter dans se trou. Mon père ne me posa pas aucune question sur ce que j'avais vécu, il voyait les choses nouvelles et j'en était ravit. Seulement la beauté de son monde fut vite fané. Il était avocat et était toujours partie. Je ne le voyais pas souvent à vrai dire et de la compagnie m'aurait fait le plus grand bien. J'avais pensé retourner avec ma mère, mais finalement je décida que j'étais mieux aussi. Et je fis très bien d'ailleurs.

IT'S A NEW WORLD BEGIN!

Le plus pire de ma vie est généralement passé. Je vivais avec mon père chose que j'avais voulu depuis un certain moment. J'étais heureuse malgré son absence prolonger. Il avait une magnifique maison et je ne pouvais pas demander mieux que cela. Je ne manquais de rien et j'étais en sécurité avec lui. Tout au long de ma vie je m'avais demandé ou il était; bien que je savais qu'il n'était plus là avec ma mère. Je voulais savoir ce qu'il était devenu, un jeune homme aussi intelligent que lui n'avait certainement pas fais que pleurer sur son sort, il avait profiter de son statut pour faire changer mon nom complet par Birdie-Sara Angélique qui à la base est mon vrai prénom mais aussi celui qu'il avait toujours rêvé de me donner. Il était devenu un avocat réputé à Washington et dans tous les pays autour d'ailleurs comme New York. J'en étais même un peu fier, d'être sa fille. Cela faisait un certain temps que j'étais ici quand je le vis pour la première fois. Je me cherchais du boulot et il tombait pile.. Erwan. Ce garçon si gentil qui est venu me parler. On a sympathiser tout de suite ! Il me parlait de Paris en France, là ou il habitait présentement. Il était en vacances et je ne pouvais demander mieux que cela, même si au fond je ne voulais pas le laisser partir. Aucun geste d'égoïsme. Mais depuis mon enlèvement, j'étais devenue une autre fille, moins naïve disons, et qui n'hésite pas pour envoyer quelqu'un balader. Seulement ce garçon c'était différent de tout ceux que j'avais connu, il était le genre aimable et tellement gentil. J'avais littéralement le bégin pour se garçon, mais me doutais que se serait passager. Malheureusement il tomba lui aussi dans le panneau, et peu de temps après, nous avons officialiser le tout. Mais on savait tout les deux qu'il allait bientôt repartir dans sa vrai vie à Paris. Je ne voulais pas qu'il parte, je voulais le garder pour toujours avec moi et cet éventualité me déchirais le cœur. Moi qui n'avais jamais vraiment connu le vrai amour, ou l'amour tout simplement. J'avais seulement connu ce monde cruel dans lequel j'ai été forcé de vivre pendant un moment, un monde ou on ne vit pas, mais survit. Je ne voulais pas le laisser partir et j'étais bien triste quand le jour arriva. Seulement celui-ci me réserva une surprise de taille. Viens avec moi.. Pars d'ici ! Bien sûre que si il n'en tenait qu'a moi je serais tout de suite partie avec lui, mais il y avait encore un léger détail à régler; mon père. Je ne pouvais pas partir sans son autorisation ou sans lui avoir dit aurevoir. Je.. Je peux partir avec toi. Et voilà comment je partie pour Paris. Seulement quand on arriva, en étant encore un couple je vous rassures, et bien je ne savais pas ou j'allais vivre et toute ces choses. Je retrouva donc l'adresse de mon oncle; Noah. Je ne le savais pas avec une fille pourtant, celle-ci me donna même envie de déménager dans mon propre appartement. Mais comme je n'avais pas d'argent, Erwan m'aida à rentré dans un bar. Ce fut géniale de travailler là et j'étais une boule d'énergie. Mais je le suis encore plus en sachant que j'ai un petit ami trop géniale. Je ne voudrais le perdre pour rien au monde. Seulement les temps ont changés et nous somme devenu fiancé. Je me souviens de sa demande en mariage, mon visage souriant de tout ces éclats, et lui agenouiller, pendant que j'étais tout simplement conquise. Épouse-moi.. Un sourire béat sur les lèvres à deux petites secondes de me mettre à pleurer comme une conne, je le regarda et l'embrassa. C'est comme cela que notre romance commença réellement pour ensuite finir pour le meilleur. Il était un comédien de comédie musicale, mais avait malheureusement obtenu une doublure pour le rôle masculin de cette comédie. Il était détruit mais moi comme parfaite épouse, car nous somme marié maintenant, je le motive à fond. C'est mon chéri après tout.

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